Nous irons tous au paradis : le Jugement dernier en question
Marie Balmary , Daniel Marguerat
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurC'est un fait : le Jugement dernier n'est plus à la mode, et personne n'ira regretter le terrorisme sacré de jadis, sur lequel les Églises ont longtemps assis leur pouvoir clérical. Mais après ces siècles de culpabilisation morbide et de peur de l'Enfer, faut-il pour autant rejeter l'idée d'une rétribution des actes de chacun ? Si le Dieu-Juge d'antan est bien mort, en avons-nous vraiment fini avec la question du Mal et de la responsabilité ? Tout, dans notre société sécularisée, jusque dans nos mythes modernes et nos séries policières, nous montre au contraire que cette énigme nous obsède. La psychanalyste Marie Balmary et le théologien Daniel Marguerat reprennent ici cette question à sa racine : celle des textes bibliques qui demeurent terriblement sévères en apparence - même ceux de l'Évangile. Or, à travers leur lecture en dialogue, une tout autre interprétation se fait jour, qui nous appelle à une vision de l'homme et de son avenir libérée de la peur. L'audace de ce livre à quatre mains nous fait découvrir une dimension insoupçonnée des Écritures. |
RésuméLa psychanalyste et le théologien s’interrogent sur la question du mal et du jugement divin dans une société contemporaine qui s’est rebellée face à cette doctrine. Pour ce faire, ils repartent des textes bibliques et évangéliques et les dépouillent de la présence divine pour mieux faire ressurgir la responsabilité de l'homme. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
30 décembre 2015
Collection(s)
Espaces libres
Rayon
Psychanalyse : auteurs
EAN
9782226320261
Nombre de pages
267
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
1.5
cm
Poids
212
g
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À propos de l'auteurMarie Balmary n'est pas seulement psychanalyste : depuis des décennies, elle explore ce que la Bible nous dit de nous-mêmes. Jusqu'à présent, elle s'était surtout penchée sur les mythes du livre de la Genèse, se rapprochant d'ailleurs plus souvent des interprétations juives que de celles de sa tradition chrétienne. |