Le studio de l'inutilité : essais
Simon Leys
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe Studio de l'inutilité Dans sa jeunesse, Simon Leys passa deux ans dans une «cahute» de Hong Kong avec trois amis étudiants - période bénie où «l'étude et la vie ne formaient plus qu'une seule et même entreprise». C'est en souvenir de ce foyer régi par l'échange et l'émulation, surnommé le «studio de l'inutilité», qu'il a ainsi intitulé le présent recueil d'essais. Tous regardent ses trois domaines de prédilection : la littérature, la Chine, la mer. Simon Leys s'y laisse aller à la jouissance désintéressée de la littérature. Libre de tout carcan, il partage amours et désamours en matière de lettres, mais toujours en attaquant son sujet par un biais inattendu. Il y éclaire tour à four la «belgitude» d'Henri Michaux, la vie personnelle de George Orwell, la genèse de L'Agent secret de Joseph Conrad, ou encore l'amitié entre Albert Camus et Czeslaw Milosz, brosse les portraits de personnalités remarquables et parfois méconnues - du prince de Ligne, «incarnation du XVIIIe siècle» à Soon Mayling, la femme de Chang-Kai-Shek -, revisite les heures les plus terribles du génocide cambodgien, dont il décrypte chaque rouage, quand il n'épingle pas, en faisant montre d'une réjouissante causticité, les considérations de Barthes sur son voyage en Chine en plein maoïsme triomphant. |
RésuméA la manière des échanges qu'il a eus dans sa jeunesse avec ses amis dans le lieu qu'ils partageaient à Hong Kong, le studio de l'inutilité, l'essayiste livre ses réflexions sur H. Michaux, G. Orwell, A. Camus, C. Milosz, Mayling Soong, le génocide khmer rouge, R. Barthes, etc. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
12 mars 2014
Collection(s)
Champs
Rayon
Critique littéraire
EAN
9782081303287
Nombre de pages
298
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
1.3
cm
Poids
208
g
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À propos de l'auteurSimon Leys le disait haut et fort, les livres n'ont qu'une seule fonction, inspirer. Cet écrivain belge, Pierre Ryckmans de son vrai nom, amoureux de la Chine, de la mer et de la littérature, a été le premier à dénoncer la révolution culturelle chinoise et la réalité du régime maoïste. Il est mort le 11 aôut 2014 à l'âge de 78 ans. |