J'ai rencontré Satan : le combat du plus célèbre exorciste : entretiens avec Slawomir Sznurkowski
Gabriele Amorth (Personne interviewée), Slawomir Sznurkowski (Interviewer)
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur« Quand l'homme ne croit pas à l'existence du diable, il ne se munit pas des armes nécessaires à sa défense. » Peu de temps avant sa mort, à l'âge de 90 ans et après plusieurs dizaines de milliers d'exorcismes pratiqués, l'exorciste le plus célèbre de l'Église catholique livre son testament spirituel. Au cours d'entretiens avec le prêtre et journaliste Stawomir Sznurkowski, le père Gabriele Amorth répond aux questions essentielles touchant la lutte contre le Mal. Rappelant la place de l'homme dans le plan de Dieu, il souligne les dangers spirituels qui menacent l'Église et le monde d'aujourd'hui. Il les décrit avec précision, tout en proposant un regard juste et équilibré sur les réalités auxquelles sont confrontés les hommes (superstition, maléfices, dépression, suicide, etc.). S'appuyant sur de nombreux témoignages tirés de son expérience, l'auteur suggère des éléments concrets pour distinguer entre une influence réelle du malin et ce qui relève de la maladie ou de nos propres peurs. Il donne des conseils pratiques et indique quelques prières de libération. |
RésuméL'exorciste témoigne de son combat contre le démon, évoque les dangers spirituels qui traversent l'Eglise et le monde contemporain et explique la nature des maléfices, l'utilité de l'exorcisme et les moyens de se protéger par la prière et l'intercession des saints. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Gabriele Amorth
(Personne interviewée), Slawomir Sznurkowski
(Interviewer) Éditeur(s) Date de parution
6 octobre 2016
Rayon
Diable
Contributeur(s) Quentin Petit
(Traducteur) EAN
9791030600834
Nombre de pages
235
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.5
cm
Poids
304
g
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À propos de l'auteurGabriele Amorth, prêtre italien, a exercé les fonctions d'exorciste au Vatican et dans l'archidiocèse de Rome à la demande du pape Jean-Paul II. S'il reste convaincu de l'influence du diable, il explique que la première démarche est de consulter un médecin pour faire la différence entre une maladie mentale et une possession réelle. |