
Un exorciste raconte
Gabriele Amorth
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurPour beaucoup aujourd'hui, y compris des théologiens, le démon n'existe pas ; il ne serait que la personnalisation symbolique de phénomènes psychiatriques et parapsychologiques. Pour d'autres, il exerce une fascination croissante et les sectes sataniques se multiplient : en Italie, en France, en Allemagne, jusqu'au coeur du Vatican paraît-il. Plusieurs personnes évoquent d'ailleurs leur pacte avec Satan qu'elles disent avantageux... Alors que certains tentent de se débarrasser de l'image de l'exorciste-qui-combat-le-démon. le plus célèbre du monde brise la conspiration du silence sur le rôle du diable. Il raconte avec force, intelligence et modération - car il n est pas question d'identifier la foi catholique avec la superstition - que le phénomène de possession est tangible, le « mystère du mal », trop rencontré aux XXe et XXIe siècles, possède une forme, une existence personnelle et bien réelle : Satan, à l'origine ange sublime siégeant au côté de Dieu, ne devant sa méchanceté qu'à lui-même et à son choix du mal. Des témoignages forts et réalistes, ponctués d'enseignements montrant que la vie de chaque homme et celle du monde restent un combat spirituel, qui doit être gagné à chaque époque, en chaque lieu, le plus réel et le plus grave des combats, et aussi, le plus assuré de succès. |
RésuméEntre les théologiens qui nient l'existence du démon et ses adeptes, ce court essai tente de répondre aux questions relatives à l'existence du diable et de dissiper l'ignorance et la confusion attachées à la notion de mal. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
9 décembre 2010
Collection(s)
Documents
Rayon
Diable
Contributeur(s) René Laurentin
(Préfacier) EAN
9782268070865
Nombre de pages
246
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
2.1
cm
Poids
325
g
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![]() À propos de l'auteurGabriele Amorth, prêtre italien, a exercé les fonctions d'exorciste au Vatican et dans l'archidiocèse de Rome à la demande du pape Jean-Paul II. S'il reste convaincu de l'influence du diable, il explique que la première démarche est de consulter un médecin pour faire la différence entre une maladie mentale et une possession réelle. |