
Que ce soit doux pour les vivants
Lydia Flem
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurQue ce soit doux pour les vivants « Il y a vingt ans, j'écrivais Comment j'ai vidé la maison de mes parents dans un mouvement d'urgence. J'avais besoin de trouver des mots pour raconter ce deuil concret, intime et déchirant, qui éveille tant de sentiments contradictoires, si souvent tus. Que devient le deuil après le deuil ? Aujourd'hui, vingt ans après, je me demande s'il ne règne pas un terrible silence social sur ce qui se poursuit tout au long de la vie en notre for intérieur. La société prescrit la nécessité de se détacher de la personne perdue, comme si tout le deuil se résumait à cette acceptation. Cette idée banale éclipse la part la plus fondamentale, la plus créatrice, la plus vivifiante du deuil : nouer des liens de continuité avec nos bien-aimés disparus, les garder vivants en nous, porteurs d'élans et de souffles nouveaux. Ce deuil au long cours, ce deuil sans fin, nimbé de tendresse et d'émotions, on pourrait le nommer : le doux deuil. » |
RésuméVingt ans après Comment j'ai vidé la maison de mes parents, qui n'interrogeait que les premiers moments suivant la mort de proches, l'autrice évoque le temps long du deuil et la manière dont les disparus continuent à habiter ceux qu'ils ont connus malgré l'injonction sociale de passer à autre chose. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
13 septembre 2024
Collection(s)
La librairie du XXIe siècle
Rayon
Psychanalyse : auteurs
EAN
9782021568516
Nombre de pages
174
pages
Reliure
Broché
Dimensions
23.0
cm x
14.0
cm x
1.5
cm
Poids
262
g
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