Histoire de mon bonheur malheureux : tout commence par une larme

Ce que dit l'éditeur

Histoire de mon bonheur malheureux

Camilla da Varano (1458-1524), clarisse, ose prendre la plume et décide de sa propre autorité (sans suivre l'injonction ou la suggestion de personne), de raconter elle-même sa vie et d'écrire ainsi ses aventures avec Dieu et ceux qui désirent en témoigner au plus près ! Avant le naufrage, tout commença pourtant bien modestement : par une seule larme...

Ce récit nous introduit dans l'intimité vitale d'une femme de la première Renaissance italienne qui entend participer au mouvement de Réforme qui secoue alors toute l'Eglise et l'immense famille spirituelle de Saint François d'Assise en particulier. Camilla devra subir de nombreuses tribulations, notamment l'assassinat de son père et de trois de ses frères sur ordre de César Borgia, commandité par le pape du même nom.

Les larmes sont parlantes lorsque la parole ne suffit plus à l'expression. Les psaumes évoquent volontiers les larmes, elles sont les cordes lyriques du corps ému. C'est pourquoi la vie de Camilla touche au plus profond de l'être.