
Toutes ces vies jamais vécues

Anuradha Roy
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce qu'on en penseAnnées 30, Indes britanniques avant le chaos. A la croisée de l'intime et de l'Histoire, le roman familial d'un fils trahi par sa mère qui disparaît... Aline, libraire à La Procure de Paris |
Ce que dit l'éditeurToutes ces vies jamais vécues Mychkine, paysagiste indien de renom, coule une retraite paisible lorsqu'il reçoit un colis inattendu en provenance du Canada : des lettres envoyées par sa mère, Gayatri, à une ancienne voisine. Elles ont été écrites entre juillet 1937 - moment où Gayatri est partie pour Bali, laissant les siens derrière elle - et octobre 1941, date à laquelle cette correspondance s'interrompt mystérieusement. Il y découvre que, contrairement aux rumeurs, Gayatri n'a pas quitté son mari pour un colon anglais, mais pour un peintre allemand, Walter Spies, qu'elle a suivi dans l'espoir de retrouver sa vie d'artiste. Marquant ainsi au fer rouge dans la mémoire de Mychkine, alors âgé de neuf ans, ce jour terrible où elle a choisi de l'abandonner. À travers le regard aimant d'un fils meurtri, Anuradha Roy retrace la trajectoire heurtée d'une femme libre, prise dans le tumulte de son époque. |
RésuméEn 1937, Gayatri quitte l'Inde pour Bali afin de retrouver sa liberté et se consacrer à la peinture. Elle laisse derrière elle son mari et leur fils de 9 ans. Bien des années plus tard, alors que ce dernier arrive à la fin de sa vie, une voisine lui remet un paquet de lettres de sa mère. Ses souvenirs resurgissent et, avec eux, des questions, notamment sur la raison de son abandon. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
2 novembre 2022
Collection(s)
Babel
Rayon
Babel, Rivage
Contributeur(s) Myriam Bellehigue
(Traducteur) EAN
9782330171643
Nombre de pages
429
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
2.6
cm
Poids
262
g
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![]() À propos de l'auteurAnuradha Roy appartient à cette école de romancières indiennes initiée par Anita Desai. Elle est de la même génération que la fille de cette dernière, Kiran Desai, lauréate du Booker Prize 2006, et comme elle, écrit en anglais. |