Simon Spurrier présente Hellblazer

Ce que dit l'éditeur

Hellblazer

Brutalement réchappé d'un enchevêtrement de futurs apocalyptiques où les actes d'un jeune mage nommé Timothy Hunter signeraient la fin d'un monde, John Constantine retrouve les recoins sombres et hantés de Londres avec pour mission de sauver son âme promise une nouvelle fois à une éternité de souffrances. Sa quête est rapidement interrompue par un chef de gang illuminé qui exigera de Constantine qu'il protège ses hommes de la vengeance d'un ange particulièrement remonté.

Hellblazer est sans doute ce qui est arrivé de mieux au petit monde des comics ces deux dernières années.

Âpre, attachant, cynique, sombre, poétique, torturé, le passage de Simon Spurrier sur la série peut s'enorgueillir de convoquer le meilleur des grands noms qui l'ont précédé, Garth Ennis en tête. Brillamment illustrée par Aaron Campbell, Matias Bergara et John Paul Leon pour les couvertures, au sommet de leur style respectif, cette nouvelle saga du mage de la classe ouvrière est déjà un classique.