Camille, mon envolée
Sophie Daull
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurDans les semaines qui ont suivi la mort de sa fille Camille, 16 ans, emportée une veille de Noël après quatre jours d'une fièvre sidérante, Sophie Daull a commencé à écrire. Écrire pour ne pas oublier Camille, son regard «franc, droit, lumineux», les moments de complicité, les engueulades, les fous rires ; l'après, le vide, l'organisation des adieux, les ados qu'il faut consoler, les autres dont les gestes apaisent... Écrire pour rester debout, pour vivre quelques heures chaque jour en compagnie de l'enfant disparue, pour endiguer le raz de marée des pensées menaçantes. Loin d'être l'épanchement d'une mère endeuillée ou un mausolée - puisque l'humour n'y perd pas ses droits -, ce texte est le roman d'une résistance à l'insupportable, où l'agencement des mots tient lieu de programme de survie : «la fabrication d'un belvédère d'où Camille et moi pouvons encore, radieuses, contempler le monde». |
RésuméCamille, 16 ans, est emportée à la veille de Noël par une violente fièvre. Sa mère se remémore les moments de complicité, les conflits et les rires, mais aussi l'après : le vide, les adieux, les gestes qui apaisent et les pensées envahissantes. Un roman qui témoigne de la résistance à l'insupportable. Prix révélation (Forêt des livres 2015). ©Electre 2024 |
Caractéristiques EAN
9782848764689
Nombre de pages
185
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
15.0
cm x
1.5
cm
Poids
290
g
|