Reflets d'acide. Vol. 10. Hymnes et huis clos

Ce que dit l'éditeur

« Maender-Alkoor... Tout commença à Maender-Alkoor... »

Des destins se retrouvent et s'entrouvrent enfin, révélant par leurs troubles de bien sombres desseins. Les alliés du passé, les ennemis d'antan, rien n'est jamais acté dans les écrits du temps.

La croisée des chemins d'un vieux roi nécromant et de l'archi-démon révèle ses tourments. Dans le gouffre oublié, la Dragonne s'étonne de trouver en ce lieu un compagnon aphone. Ailleurs, des morts tâtonnent, cheminant à rebours un bien curieux parcours sans espoir de retour.

Maender-Alkoor est mort mais par un coup du sort quelques privilégiés se remettent sur pied. S'évadant d'un cachot, voici Rémi Chelin : cet oracle vieillot surpasse les devins. Il chante le Futur dans un présent funeste, alors qu'on fait lecture, ailleurs, de choeurs agrestes.

L'espoir, telle une plume, s'élève dans les airs, se rapproche ou s'éloigne de bien plus grands mystères. Quelques Hymnes résonnent et un lointain tonnerre avise les vivants du retour des Enfers...

« Bien étrange est le rôle que l'on m'a dévolu... Je suis un omniscient dépourvu d'attributs... Viens à moi, ma faconde ! Narrons ou bien narguons les grandes destinées qui oeuvrent en ce monde ! »