Les portes du péché : les sept vices capitaux
Gianfranco Ravasi
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLes portes du péché À l'origine du péché, stigmatisé par les religions, source de tous les plaisirs du mal pour les moralistes, le vice a toujours suscité l'intérêt de l'éthique, de l'art et de la philosophie. Mais qu'est véritablement ce vice qui toujours nous flatte, nous attire et nous séduit bien plus que la vertu ? À la suite de Dante, Gianfranco Ravasi nous accompagne dans un parcours séduisant et original à la découverte des « sept vices capitaux » - orgueil, avarice, luxure, colère, gourmandise, envie et paresse -, depuis la longue descente dans le gouffre abyssal de l'enfer jusqu'à la montée haletante le long de la montagne du purgatoire. Affrontant les questions philosophiques et théologiques, éthiques et morales qui identifient ou analysent l'essence de chaque vice et ses caractéristiques, l'auteur y mêle aussi l'aspect historique et narratif, construisant ainsi une sorte d'histoire des vices qui prend corps dans des personnages littéraires, des représentations artistiques et des séquences cinématographiques, pour dessiner « ce petit monde qu'est l'homme ». |
RésuméLes sept vices ou péchés capitaux sont ici analysés d’un point de vue théologique, moral ou éthique. L’aspect historique de ces notions n’est pas oublié. G. Ravasi illustre ses propos d’exemples littéraires, artistiques ou cinématographiques. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
21 septembre 2012
Collection(s)
Culture religieuse
Rayon
Développement personnel et spiritualité
Contributeur(s) Caroline Izoard
(Traducteur) EAN
9782728915965
Nombre de pages
265
pages
Reliure
Broché
Dimensions
23.0
cm x
16.0
cm x
2.4
cm
Poids
378
g
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À propos de l'auteurGianfranco Ravasi est un cardinal italien professeur d'exégèse et directeur de la Bibliothèque Ambrosienne de Milan qui a publié une cinquantaine d'ouvrages pour spécialistes biblistes mais également participé à de nombreuses émissions télévisées à la portée du grand public. Il a été le premier prélat à twitter... en latin ! |