L'Evangile de la vie : principes et enjeux
Dionigi Tettamanzi
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurEn frontispice de sa somme magistrale de bioéthique, le cardinal de Milan, Dionigi Tettamanzi, a consacré ce tome à un aperçu complet des fondements de la bioéthique. Sa réflexion situe le débat bioéthique dans le contexte contemporain en prenant en compte les questionnements actuels sur la vie, la naissance, la souffrance et la mort. Patrick Verspieren, préface ici les quatre tomes de l'oeuvre et en éclaire les enjeux essentiels: «Comment mettre en oeuvre de façon responsable la liberté dans la fidélité à la loi morale, en se laissant éclairer par la révélation chrétienne, lorsqu'il s'agit des multiples questions éthiques concrètes posées par les pratiques médicales et les innovations biomédicales? [...] L'ensemble de l'ouvrage a pour objectif principal d'expliciter une morale chrétienne, ses valeurs et ses exigences objectives [...]. Cet ouvrage prendra certainement place parmi les textes de référence consultés par les acteurs de la santé, non seulement les biologistes, les médecins et les autres soignants, mais aussi les malades et leurs familles, et tous ceux qui voudront soumettre à un examen attentif un éventuel recours aux innovations de la biomédecine.» |
RésuméLe cardinal, archevêque de Milan, propose des réflexions sur la bioéthique replacées dans une perspective chrétienne, et la place de l'homme dans les décisions concernant la vie humaine, la mort, la souffrance, etc. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
20 janvier 2005
Collection(s)
Nouvelle bioéthique chrétienne
Rayon
Bioéthique chrétienne
Contributeur(s) Patrick Verspieren
(Préfacier), Christine Barbacci-Marotta
(Traducteur) EAN
9782706703799
Nombre de pages
247
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
0.1
cm
Poids
315
g
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À propos de l'auteurDionigi Tettamanzi a longtemps été considéré comme papabile car le pape Jean-Paul II, qui le tenait en haute estime, l'a fait accéder aux plus hautes responsabilités. Mais son discours social et ses prises de position en faveur des pauvres, notamment lors du G8 de Gênes en 2001, lui ont fait préférer Josef Ratzinger conclave de 2005. |