Que le diable l'emporte
John Franklin Bardin
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurEllen, célèbre claveciniste, quitte la clinique psychiatrique où elle a passé de longs mois. Il lui tarde de retrouver sa maison et surtout son mari Basil, et de jouer à nouveau. Pourtant un sombre pressentiment s'insinue en elle au moment du départ. Elle répugne à s'éloigner de son médecin. Est-elle vraiment guérie ? De retour chez elle, un certain nombre de faits anodins se produisent qui vont faire naître à nouveau ses angoisses. Tout porte à croire qu'Ellen a perdu la mémoire et que sa raison vacille, toutefois son entourage se comporte avec elle de bien étrange façon : complot, paranoïa, manipulation ?... Entre Patricia Highsmith et Ruth Rendell, selon les spécialistes du genre, avec cet incomparable talent à mener un suspense qui n'appartient qu'à J.F. Bardin. «Il était temps d'exhumer ce chef-d'œuvre.» Le Magazine littéraire «Au fur et à mesure de la lecture, la filiation devient évidente. C'est du côté de Patricia Highsmith qu'il faut chercher : l'angoisse distillée par petites touches, l'atmosphère oppressante, la psychologie trouble des personnages.» Eric Libiot - Max |
RésuméEllen, célèbre claveciniste, quitte la clinique psychiatrique où elle a passé de longs mois. Il lui tarde de retrouver sa maison et surtout son mari Basil. Pourtant un sombre pressentiment s'insinue en elle : est-elle guérie ? Un certain de nombre de faits anodins font renaître son angoisse et son entourage se comporte avec elle d'étrange façon. Complot ou paranoïa ? ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
17 janvier 2001
Collection(s)
Arcanes
Rayon
Poche
Contributeur(s) Richard Matas
(Traducteur) EAN
9782844120762
Nombre de pages
217
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
13.0
cm x
1.3
cm
Poids
220
g
|