Le jour où mon Alzhei'mère échappa aux griffes d'un nazi constipé grâce à un tueur croate à la coiffure étrange

Ce que dit l'éditeur

Le jour où mon Alzhei'mère échappa aux griffes d'un nazi constipé grâce à un tueur Croate à la coiffure étrange

Depuis qu'elle est certaine de ne pas avoir tué Gérard, Franckie Apfelstrudel coule des jours heureux dans le désert.

Sa cousine Lilith en revanche, vit un véritable cauchemar à Paris : elle n'arrive plus à écrire depuis que sa mère a perdu la raison, son réveil-matin et toutes ses petites culottes.

Mais ce n'est pas le plus grave. Un tueur Croate victime d'une plaisanterie capillaire foireuse est à ses trousses tandis qu'une série de pogroms sévit dans la capitale.

Après « J'ai pas tué Gérard, enfin je crois... », l'histoire continue avec Franckie et sa bande de bras cassés, toujours beaucoup de cadavres, des meurtres à gogo, mais aussi un nazi pétomane, des savants spécialistes de la greffe d'écailles sur derme humain, un certain nombre de Daft Punk, deux frères Bismut qui voient la vie en noir et blanc, une concierge adepte des bains de siège, un faux footballeur, un hamster soupçonné de tentative de meurtre, un Bédouin érudit et ses douze enfants... Mais toujours pas de raton laveur.

« Une fois de plus, Laurence Klein berger nous entraîne sur la pente fragile de son univers dépressivo-hilarant ».