Jacob et le cinéma
Alexander Dickow
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurJacob et le cinéma En 1914, à Montparnasse, Max Jacob déclare avoir vu le Christ au cinéma. Dès 1911, alors que le cinéma n'a pas encore acquis ses lettres de noblesse, l'amateur des salles obscures y a déjà vu Fantômas, puis Charlot dès les débuts du fameux vagabond. Le cinéma - et les cinéastes, dont Jean Aurenche, André Sauvage et Jean Cocteau - accompagnent toute sa vie de poète. Dans son oeuvre, le poète dialogue avec le cinéma, notamment par des montages vertigineux d'images dans Le Cornet à dés et La Défense de Tartufe, dans des textes parus en revue, et jusque-là inédits. Il reste une unique bande où figure Max Jacob en personne. Sur la page comme à l'écran, Jacob porte les marques du plus surprenant des personnages de fiction, si bien que l'on n'a pas manqué de rendre Max Jacob à l'écran ; ne doutons pas qu'il y reviendra... |
RésuméL'auteur explore les liens entre le poète Max Jacob et le cinéma : son intérêt pour le cinéma dès la fin des années 1900, les cinéastes qu'il a côtoyés, ou encore l'influence du montage cinématographique sur son écriture poétique. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
24 novembre 2017
Collection(s)
Le cinéma des poètes
Rayon
Spectacle, cinéma
EAN
9782376280132
Nombre de pages
120
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
12.0
cm x
cm
Poids
110
g
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