Que ma mort soit une fête
Cristian Alarcon
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe dernier robin des bois était argentin. Adolescent, Vìctor Vital, alias El Frente, était déjà une légende vivante. C'était le dernier bandit au grand coeur, d'un quartier pauvre de Buenos Aires, jusqu'à ce qu'il soit tué par la police en 1999 à l'âge de 17 ans. Avant qu'une nouvelle génération de petites frappes, sans foi ni loi, ne fasse disparaître son souvenir, Cristian Alarcón est allé recueillir la parole de ceux qui l'ont connu. Pendant deux ans, il a traîné dans le quartier et s'est entretenu avec ses proches, des membres de gangs ou d'anciens voleurs. Avec Que ma mort soit une fête, il a souhaité livrer un récit humain sur ces banlieues délaissées où la solidarité prend le pas sur la violence. |
RésuméRésultat de deux ans d'enquête dans les banlieues pauvres de Buenos Aires, ce récit retrace le parcours de Victor Vital, un garçon issu d'un quartier déshérité de la capitale argentine qui vole pour survivre au jour le jour. Surnommé Robin des bois par les habitants, car il redistribuait son butin, le jeune homme est abattu par la police en 1999, avant de devenir un symbole pour sa communauté. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
24 février 2021
Rayon
Littérature espagnole
Contributeur(s) Michèle Guillemont
(Traducteur) EAN
9782381340098
Nombre de pages
186
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
14.0
cm x
1.8
cm
Poids
252
g
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