Automoribundia : 1888-1948
Ramon Gomez de la Serna
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur« Je ne me suis caché ni pour raconter ni pour vivre, mais ce livre éclaire tout ce qui aurait été dissimulé. » Parus en 1948 à Buenos Aires, les Mémoires de Ramón Gómez de la Serna sont considérés comme sa pièce maîtresse. Porte-parole du baroquisme hispanique moderne, considéré par Valery Larbaud comme l'égal de Proust ou de Joyce, cet écrivain à l'humour teinté de surréalisme, proche de celui d'Alfred Jarry, a aussi quelque chose de Kafka et de Borges. Inventeur d'un sous-genre littéraire, la « greguería » - sorte d'aphorisme drolatique -, il a publié de nombreux romans et nouvelles, et nourri les pages de plusieurs revues littéraires espagnoles de son époque. Couvrant la période 1888-1948, le livre paraît lorsque l'écrivain a soixante ans : alors exilé en Argentine, oublié de tous après le drame de la guerre civile, il sent la maladie et la vieillesse s'abattre sur lui. Cette autobiographie « moribonde » fait revivre « le grand Ramón, l'artiste qui dans les années 1920 surprenait par ses productions imprévisibles. Par-delà son histoire personnelle, elle propose une somme des expériences stylistiques, poétiques, spirituelles et obsessionnelles qui constituent la marque d'un écrivain si singulier. |
RésuméEcrite en 1948, l'autobiographie littéraire de l'auteur espagnol qui, à 60 ans, exilé en Argentine, entreprend de faire revivre le grand artiste d'avant-garde qu'il était dans les années 1920. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
1 octobre 2020
Collection(s)
Quai Voltaire
Rayon
Littérature espagnole
Contributeur(s) EAN
9782710381976
Nombre de pages
1035
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
4.4
cm
Poids
1006
g
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