Laissez-moi tous mes parents : pour une reconnaissance de la coparentalité : essai
Eric Verdier
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurAujourd'hui encore, l'« intérêt supérieur de l'enfant » consiste, pour la société et ses juges, à confier la résidence de celui-ci, en cas de séparation du couple, à un seul de ses deux parents, le plus souvent la mère. Pourtant, tout le monde le reconnaît, la famille a changé, le rôle du père a évolué. Les parents biologiques ne sont plus les seuls à assurer la protection et l'éducation des enfants. Il y a aussi tous les « autres » parents, ceux qu'Éric Verdier propose de regrouper sous le nom de « coparents », et qui comprennent les « beaux-parents » (en cas de remariage), mais pas seulement. Or, ce « pas seulement » est souvent ignoré par la loi, ce qui engendre des problèmes innombrables et des souffrances inutiles. Afin de rétablir l'équilibre coparental et d'éviter le sentiment d'humiliation de celui ou celle qui n'obtient pas la résidence de l'enfant, il convient de refonder la parentalité sur les valeurs essentielles que sont la clarté, le respect et l'équité :
Ainsi, l'intérêt réel de l'enfant sera-t-il enfin pris en compte. |
RésuméL'auteur montre que la notion de coparentalité permet à l'enfant de construire sa colonne vertébrale psychique autour de valeurs : la clarté surtout sur ses origines ; l'équité surtout entre ses parents ; le respect, en priorité de ceux qui se sentent responsables de lui. Cette notion accorde aussi de l'importance à chacun des types de parents : géniteurs, parents reconnus par la loi et coparents. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
17 février 2010
Rayon
Séparation et famille recomposée
EAN
9782845472051
Nombre de pages
217
pages
Reliure
Broché
Dimensions
15.0
cm x
23.0
cm x
2.5
cm
Poids
340
g
|