Vincent Van Gogh, Antonin Artaud : ciné-roman, ciné-peinture

Florence de Mèredieu

Blusson | mars 2014

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Ce que dit l'éditeur

Ciné-roman ¤ Ciné-peinture

« Exprimer l'amour de deux amoureux par un mariage de deux complémentaires, leur mélange et leurs oppositions, les vibrations mystérieuses des tons rapprochés. »
(Vincent Van Gogh, Lettre à Théo, septembre 1888)

« ... au milieu d'un bombardement comme météorique d'atomes qui se feraient voir grain à grain »
(Antonin Artaud, Van Gogh le suicidé de la société)

« Un trait intensif se met à travailler pour son compte, une perception hallucinatoire, une synesthésie, une mutation perverse... »
(Gilles Deleuze/Félix Guattari, Mille Plateaux)

Résumé

L'auteure retrace les similitudes artistiques et psychologiques des deux artistes, qu'elle qualifie de "deux suicidés de la société". La trame de leurs oeuvres, les boucles du récit et les hachures du trait ouvrent la porte aux audaces de l'art moderne et contemporain. ©Electre 2025