La gauche n'a plus droit à l'erreur : chômage, précarité, crise financière : arrêtez les rustines !

Michel Rocard , Pierre Larrouturou

Flammarion | janvier 2013

18.05 €

-5% pour les titulaires de la carte avec le retrait en librairie

LIBRAIRIES PARTICIPANTES

Paris VIᵉ, Paris VIIIᵉ, Paris XVIIᵉ, Paris Vᵉ
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...

Voir les disponibilités en librairie

19.00 €

Disponibilité en ligne

Expédié sous 72 h

Voir nos modes de livraison

Ajouter à ma liste d'envies

Existe aussi en version numérique : epub pdf

Ce que dit l'éditeur

Qui peut croire que la crise est finie ?

Alors que le chômage et la précarité atteignent des niveaux jamais égalés, François Hollande et l'ensemble du PS misent essentiellement sur le retour de la croissance pour les faire baisser. Or, 2013 va sans doute être marquée par une très nette aggravation de la crise... La gauche au pouvoir est-elle condamnée à décevoir ?

Le but de ce livre est de dire la vérité sur les dangers qui nous menacent mais aussi et surtout de proposer des solutions à la hauteur des enjeux. Nos systèmes sont de plus en plus interdépendants. Pour le pire mais aussi pour le meilleur : l'effet domino peut jouer aussi pour sortir de la crise.

Michel Rocard et Pierre Larrouturou mettent la gauche française et européenne face à ses responsabilités et avancent des propositions très concrètes.

Résumé

L'ancien Premier ministre et l'économiste soulignent les risques d'aggravation de la crise économique déclenchée en 2008 et font des propositions alternatives pour y mettre fin en France. ©Electre 2024

Caractéristiques

Auteur(s)

Michel Rocard , Pierre Larrouturou

Éditeur(s)

Flammarion

Date de parution

16 janvier 2013

Collection(s)

Document

Rayon

Actualité : sujets généraux

EAN

9782081282445

Nombre de pages

367 pages

Reliure

Broché

Dimensions

22.0 cm x 14.0 cm x 2.4 cm

Poids

365 g

À propos de l'auteur

Michel Rocard

Pierre Larrouturou, ingénieur agronome de formation, est un homme politique français proche de la gauche, qui s'est intéressé au partage du temps de travail et a prôné une semaine de 4 jours pour résoudre les problèmes de l'emploi.