Le musée des sorcières : essai
Catherine Clément
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe musée des sorcières En Europe, on a brûlé les sorcières jusqu'au XVIIe siècle. Elles n'étaient coupables que d'une seule chose : être femme. À la veille de la Renaissance, un pape avait proclamé que toutes les femmes étaient sorcières. Bonnes à tuer pour protéger le « membre viril », disent les textes. Toutes ces cruautés sont à peine balayées par la Révolution française, et l'impure sorcière fut bientôt transformée en son contraire : la très pure Sainte Vierge. Que reste-t-il aujourd'hui de ces sorcières jadis brûlées, écartelées, maudites ? Guérisseuses de choc cachées dans les campagnes, petites-filles du féminisme, activistes Femen ou membres du mouvement #MeToo, les sorcières du XXIe siècle sont libres et fières de l'être. |
RésuméUne réflexion sur l'histoire des sorcières en Europe ainsi que sur ses liens avec la misogynie, le féminisme, la religion et la sorcellerie. A la fin du XVIIe siècle, cette vision de la femme s'est transformée, devenant le symbole de la vierge pure, respectée et muette. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
2 septembre 2020
Rayon
Sociologie et histoire des femmes
EAN
9782226440808
Nombre de pages
293
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
2.5
cm
Poids
368
g
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