Le mystère théandrique : action de Dieu, action de l'homme dans l'oeuvre du salut
Simon Icard
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce qu'on en penseAvec une exceptionnelle clarté Simon Icard parcourt le grand débat théologique de l'Occident, d'Augustin à François de Sales: l'articulation de la liberté et de la grâce. De quoi mieux comprendre comment nous pouvons coopérer à l'œuvre de Dieu. Guillaume, libraire à La Procure de Paris |
Ce que dit l'éditeurComment penser que Dieu et l'homme agissent ensemble, l'un par sa grâce, l'autre par sa liberté, sans réduire l'action divine au profit de l'action humaine, ou l'inverse ? Le catholicisme moderne n'a cessé de buter sur cette question. En confrontant des auteurs antiques (saint Augustin, saint Maxime le Confesseur, saint Benoît), médiévaux (saint Bernard, Guillaume d'Ockham) et modernes (Molina, Jansénius, saint François de Sales), cet essai montre l'occultation d'une intuition fondamentale : Dieu et l'homme font chacun la totalité de leur oeuvre commune, parce que le Christ est vrai homme et vrai Dieu. Théologiens et spirituels ont cherché à établir la part de Dieu et la part de l'homme dans la vie de l'âme, contribuant ainsi à l'émergence d'une anthropologie où la référence à Dieu devient inutile. |
RésuméEn confrontant les penseurs antiques, médiévaux et modernes, l'auteur montre comment a été occultée l'intuition de la double action divine et humaine. En cherchant la part de Dieu et la part de l'homme dans la vie de l'âme, les théologiens ont contribué à l'émergence d'une anthropologie où la référence à Dieu devient inutile. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
28 avril 2014
Collection(s)
Champion Essais
Rayon
Théologie classée par théologiens
EAN
9782745326652
Nombre de pages
114
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
cm
Poids
260
g
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À propos de l'auteurSimon Icard, chercheur au CNRS, travaille sur les religions du Livre, les philosophies et théologies de l'Antiquité, du Moyen Age et de l'époque moderne, avec un intérêt particulier pour le jansénisme. |