Les horreurs de la démocratie : scolies pour un texte implicite. Un ange captif du temps
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurSelon son ami Alvaro Mutis, son oeuvre, «un livre immense», est un «territoire jalousement maintenu dans la pénombre». Et Gabriel García Márquez aurait avoué en privé : «Si je n'étais pas communiste, je penserais en tout et pour tout comme lui.» «Démagogie est le mot qu'emploient les démocrates quand la démocratie leur fait peur.» «La grande ambition de l'artiste actuel, c'est que la société le couvre d'opprobre et la presse d'éloges.» «Les opinions révolutionnaires ouvrent la seule carrière, dans la société actuelle, qui assure une position sociale respectable, lucrative, et paisible.» «Le Progrès se réduit finalement à voler à l'homme ce qui l'ennoblit, pour pouvoir lui vendre au rabais ce qui l'avilit.» «Cela fait deux siècles que le peuple a sur le dos non seulement ceux qui l'exploitent, mais aussi ses libérateurs.» «Son dos s'est courbé sous ce double poids.» «Que le christianisme soit né comme une conspiration de prolétaires, seul peut le croire quelqu'un dont le coeur se sentirait comblé par l'argent.» «La toute-puissance de l'argent a été le prix de l'égalité sociale.» «La toute-puissance de l'Etat sera le prix de l'égalité économique.» |
RésuméCet auteur colombien (1913-1994) consacra sa vie à la lecture et à l'écriture. Chez lui, à Bogota, sa bibliothèque était le centre de sa maison, un lieu de recueillement et de méditation d'où se dégageait le parfum du savoir et de la littérature de l'ancienne Europe. Il propose ici une critique des dérives de la démocratie moderne. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Éditeur(s) Date de parution
20 février 2003
Collection(s)
Anatolia
Rayon
Littérature espagnole
Contributeur(s) Nicolas Gomez Davila
(Auteur), Samuel Brussell
(Préfacier), Michel Bibard
(Traducteur), Franco Volpi
(Auteur) EAN
9782268044675
Nombre de pages
382
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
3.0
cm
Poids
454
g
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