Talleyrand au congrès de Vienne (1814-1815)
Guglielmo Ferrero
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurMalgré la fragilité politique de la France en 1815, Talleyrand, le « Diable boiteux » comme il fut surnommé, réussit à faire plus qu'éviter l'humiliation de la France dans ce concert des puissances. Initialement exclue des négociations, Talleyrand parvint à placer la France sur un pied d'égalité avec l'Angleterre, la Russie, la Prusse et l'Autriche en exploitant les tensions entre les grandes puissances, créant une sorte de coalition avec l'Autriche et l'Angleterre afin de modérer les appétits de la Prusse et de la Russie. De la sorte, la France devint quasiment l'arbitre des négociations, apparaissant comme le défenseur de l'équilibre européen. L'habileté suprême du « Diable boiteux » au Congrès de Vienne dont Ferrero brosse ici un tableau détaillé reste un modèle de diplomatie fondé sur la patience, la connaissance des intérêts en présence et l'art du compromis. Un exemple pour aujourd'hui encore ! |
RésuméL'histoire du congrès de Vienne, durant lequel, entre le 1er novembre 1814 et le 9 juin 1815, après l'abdication de Napoléon et la restauration de la monarchie en France, les grandes puissances victorieuses (Angleterre, Autriche, Russie) et la nation vaincue, représentée par Talleyrand, essayent de jeter les bases d'un nouvel ordre européen pour établir une paix durable. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
7 mai 2025
Collection(s)
Le goût de l'histoire
Rayon
XIXe siècle : généralités
Contributeur(s) Louis Rougier
(Préfacier) EAN
9782251457130
Nombre de pages
386
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
13.0
cm x
2.1
cm
Poids
401
g
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