A chacun son dû - Leonardo Sciascia

A chacun son dû

Leonardo Sciascia

Gallimard | avril 2024
7.03 €
-5% pour les titulaires de la carte avec le retrait en librairie
LIBRAIRIES PARTICIPANTES
Paris VIᵉ, Paris VIIIᵉ, Paris XVIIᵉ, Paris Vᵉ
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Voir les disponibilités en librairie
7.40 €
Disponibilité en ligne
En stock
Expédié sous 48 h

Ce que dit l'éditeur

À chacun son dû

« Bien qu'on ne possédât aucun indice, il n'y avait personne dans le pays qui n'eût déjà, pour son propre compte, secrètement, résolu le mystère ; ou qui n'estimât au moins en détenir une clef. »

Été 1964, dans un village de Sicile. Le pharmacien Manno reçoit une lettre anonyme contenant des menaces de mort, adressées en représailles d'une faute qu'il aurait commise. Il se laisse convaincre par son entourage qu'il s'agit d'une mauvaise plaisanterie. Peu après, au cours d'une partie de chasse, Manno est abattu avec son ami, le docteur Roscio. Alors que l'enquête s'enlise, le timide professeur Laurana, ami des victimes, se décide à rechercher lui-même le coupable.

Tiré au cordeau, À chacun son dû livre un point de vue implacable, qui n'a rien perdu de sa pertinence, sur la société sicilienne et ses impasses.

Résumé

Manno, pharmacien sicilien, choisit d'ignorer les lettres de menace qu'il reçoit régulièrement. Quelques semaines plus tard, lors d'une partie de chasse, il est abattu à bout portant ainsi que son ami Roscio. Trois hommes sont arrêtés et écroués en toute hâte. Le professeur Laurana, un des amis des deux victimes, est prêt à tout pour démêler les zones d'ombre de ce crime trop vite élucidé. ©Electre 2024

Caractéristiques

Auteur(s)
Éditeur(s)
Date de parution
18 avril 2024
Collection(s)
Folio
Rayon
Folio
Contributeur(s)
Jacques de Pressac (Traducteur), Mario Fusco (Traducteur)
EAN
9782070425846
Nombre de pages
174 pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0 cm x 11.0 cm x 1.2 cm
Poids
126 g
nothumb-auteur.jpg

À propos de l'auteur

Leonardo Sciascia

Leonardo Sciascia est le chantre de la Sicile, son île natale, qu'il n'a pratiquement jamais quittée. Son oeuvre lui est consacrée. Il en décrit la beauté et la rudesse mais aussi les côtés sombres, l'omniprésence de ma mafia et ses collusions avec certains gouvernements italiens.