La cité de paroles
Stéphane Bouquet
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurDans un dîner, il y a toujours un moment où l'on parle météo et un autre où l'on parle politique et un autre où l'on parle cinéma et un autre où l'on parle sexe. En France, en tout cas - et sans doute ailleurs aussi. « La Cité de paroles » voudrait être un livre en compagnie. Comme les convives d'un dîner, il vagabonde d'un sujet à l'autre, avec pas mal de sauts dans le passé ou à l'étranger. Le livre parle politique (existe-t-il un poème démocratique ?) et météo (pourquoi Pasolini aimait-il la pluie ?) et sexe (la prostitution ou l'homosexualité sont-elles des formes qui aident le poème à s'inventer ?) et etc. Mais en basse continue circule la même idée obsédante : les poèmes ne sont pas des choses sacrées ou ésotériques. Au contraire, ils sont des moyens de la conversation et du partage et du laisser-aller. Ils doivent s'efforcer d'être aussi futiles qu'une après-midi passée à la plage. C'est-à-dire que soleil et mer et odeurs d'huiles hydratantes : quelque chose dans l'allant de l'expérience (poétique) est partagé entre inconnus. |
RésuméD'un sujet à l'autre et à bâtons rompus comme lors d'une conversation entre convives, l'auteur aborde la politique, la météo, le sexe, entre autres, dans une prose poétique. Au fil du texte, se dessine l'idée que les poèmes n'ont pas de caractère sacré ou ésotérique, mais qu'ils sont des moyens de conversation et de partage. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
5 avril 2018
Collection(s)
En lisant, en écrivant
Rayon
Littérature française
EAN
9782714311948
Nombre de pages
205
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
14.0
cm x
1.7
cm
Poids
220
g
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