Le puits perdu : autobiographie

Ce que dit l'éditeur

«Soixante-dix-sept ans, avec Tintin hors de portée, Est-il temps de refermer la parenthèse ? Le compte à rebours peut-il commencer ? Essayons de l'écrire...»

Aidé par une plume vagabonde et pétillante, l'auteur se fait le chantre d'une existence bien remplie, d'un pays à l'autre (Égypte, Liban, Libye, Malte...), d'une langue à l'autre. Toujours poussé par l'envie de découvrir, de connaître, de comprendre. Toujours guidé par un humour qui sait retrouver les anecdotes ponctuant les années :

• démêlés coca-colesques d'un PDG vaincu par des toilettes à la turque,
• portraits de futurs Européens d'élite en formation à l'INSEAD,
• l'éducation à l'école des Frères (où l'on apprend que l'on peut être converti : de quoi ? en quoi ?),
• le bulletin scolaire destiné aux parents, quelque peu embelli...

Aux détours de ce chemin accompli en douze marches, à la recherche d'un puits perdu, Elie Dermarkar ne résiste pas au plaisir d'interroger, avec finesse et fantaisie, les usages, les cultures, les étiquettes.

L'amour l'aura guidé toute sa vie, et la gaieté, et la tribu familiale, et le respect de l'autre. Il a eu le bonheur d'être gratifié de «touchers d'éternité», ces touchers que le lecteur partagera en découvrant l'itinéraire d'un honnête homme, la tête dans le ciel et les pieds dans les champignons.