François-Jean Armorin : le reporter en couleurs
Jacques Mouriquand
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe reporter en couleurs « Je marcherai les yeux ouverts » François-Jean Armorin, l'ami si proche de Kessel, le tout jeune journaliste au milieu d'une pléiade de futurs grands noms (Madeleine Jacob, Jacques Derogy, Georges de Caunes, Pierre Joffroy, Robert Tréno) a été de cette formidable génération de journalistes qui vont peupler les médias de l'après-guerre. Pierre Lazareff, l'illustre patron de France-Soir ne s'y trompe pas : il lui remet en personne le prix de journalisme Claude Blanchard. Avant de disparaître à la mi-juin 1950 dans le crash mystérieux d'un avion au retour de Saigon, il laisse un portrait saisissant de l'immédiat après-guerre. Ses récits de l'épopée de l'Exodus et autres navires d'émigration des Juifs vers la Palestine lui vaudront un prix de journalisme alors qu'il débute à peine. Ces pages offrent donc à la fois le portrait d'un homme et le récit d'un temps que les historiens ont peu exploré. Heureusement, il y a Armorin. |
RésuméJournaliste de l'après-guerre et ami de J. Kessel, F-J. Armorin meurt dans un crash d'avion en 1950. L'auteur revient sur la courte mais brillante carrière de celui qui s'est vu recevoir le prix du journalisme Claude Blanchard par P. Lazareff, notamment pour ses récits de l'épopée de l'Exodus et d'autres navires d'émigrations des Juifs vers la Palestine. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
6 juin 2023
Collection(s)
Résister
Rayon
Poche
EAN
9782356182494
Nombre de pages
148
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
12.0
cm x
1.1
cm
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