La potiche a peur en rouge : & cent autres fables express : précédées d'une présentation & assorties de leurs commentaires explicatifs
Pierre Jourde
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa Potiche a peur en rouge et cent autres fables express Précédées d'une présentation et assorties de leurs commentaires explicatifs « La fable express est une parodie de fable, qui naquit à la fin du XIXe siècle, époque de fantaisie, d'invention, et de jeu avec la langue. Alphonse Allais fut un virtuose du genre. La recette en est simple : une poignée de vers de mirliton, aromatisés à l'absurde, à l'insolence ou à l'obscénité, et une "morale" en général très peu morale, qui parodie parfois dictons et lieux communs, mais ça n'a rien d'obligatoire. La "morale" est à double sens : elle cache une autre formule, qui se prononce de la même manière mais dit tout autre chose. Bref, c'est un calembour. Le but ? Le jeu, le rire. » Après une érudite et savoureuse présentation, Pierre Jourde revisite en cent et une fables (agrémentées de commentaires) ce drôle de genre littéraire, pratiqué entre autres par Alphonse Allais, Boris Vian et Marcel Gotlib. Réactualisant cette forme d'écriture pour rire, à la portée de tous, l'impertinent et caustique Pierre Jourde signe ici un véritable manifeste pour une littérature humoristique et amusante. |
RésuméLa fable express, qui naît à la fin du XIXe siècle, est une parodie de fable mêlant absurde, insolence ou obscénité et une morale à double sens. L'écrivain revisite en 101 textes ce genre littéraire humoristique et populaire exercé par Alphonse Allais, Boris Vian et Marcel Gotlib. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
28 octobre 2021
Collection(s)
Les insensés
Rayon
Humour
Contributeur(s) Hervé Le Tellier
(Préfacier) EAN
9782374981987
Nombre de pages
101
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
13.0
cm x
1.3
cm
Poids
162
g
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À propos de l'auteurPierre Jourde, universitaire, romancier, critique, essayiste, prend pour cible les hypocrisies de la société française, la puissance des médias et la mauvaise littérature. |