Mademoiselle Rachel, l'étoile filante : adaptation libre de correspondances, mémoires, journaux et chroniques
Agnès Akérib
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurMademoiselle Rachel n'était qu'une petite saltimbanque ignorante qui chantait dans les rues à l'âge de huit ans. Quelques années plus tard, après une entrée fracassante sur la scène du Théâtre-Français, elle allait devenir, dans le rôle de Phèdre, la plus grande tragédienne du XIXe siècle. Mademoiselle Rachel déchaîna les ovations et les passions. Elle fut aimée par des princes, adulée par le tzar Nicolas, couverte de bijoux par les Reines, les Rois et les princes, comblée de richesses et d'honneurs. De partout, elle adressa à ses amis, poètes, auteurs et critiques, à sa tribu - cette famille qu'elle assuma jusqu'à se tuer à la tâche - le récit de ses triomphes et de ses épuisements. «J'ai dévoré en quelques années mes jours et mes nuits, écrit-elle... Du bas des Pyramides, je contemple vingt siècles évanouis dans les sables. Je me croyais pyramidale et je ne suis qu'une ombre qui passe. Comme je vois ici le néant des tragédiennes...» La belle étoile filante disparut le 3 janvier 1858. Elle avait trente-sept ans. |
RésuméMademoiselle Rachel n'était qu'une petite saltimbanque ignorante qui chantait dans les rues à l'âge de huit ans. Quelques années plus tard, après une entrée fracassante sur la scène du Théâtre-Français, elle allait devenir, dans le rôle de Phèdre, la plus grande tragédienne du XIXe siècle. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
20 mai 2010
Collection(s)
Scènes intempestives à Grignan
Rayon
Poésie et théâtre
EAN
9782916724188
Nombre de pages
73
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
14.0
cm x
0.5
cm
Poids
80
g
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