Les chambres, les parois
Constantin Abaluta
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur«On ne cesse plus de lire et d'entendre - radio ou télé - que la poésie..., c'est bien, s'il vous plaît, du travail... Il faut tout de même éprouver une honte singulière - ou une culpabilité d'intellectuel - pour (se) cacher que si on a plus ou moins misé toute sa vie sur cet insaisissable, la poésie, (ou sur ce que plus généralement, on appelait jadis la création), c'est aussi et surtout par refus de se soumettre aux seules contraintes de l'existence - et pour ne pas avoir à intégrer la quotidien cortège des masses travailleuses... Rien de tel, en tout cas, n'est heureusement à craindre avec Constantin Abaluta... Toute idée de travail s'évanouit vite au contact des textes et de leur auteur, un poète qui, à l'évidence, n'écrit que parce qu'il n'a que ça à faire... La désinvolture de cette poésie, sa disponibilité même (sont celles) d'un rentier inspiré (qui) nous récompense des mornes technocrates actuels. Et nous rappelle que si les chapeaux que nous ont légués ses pères sont moins respectables que risibles, ils peuvent aussi faire ressortir, au-delà de leurs bosses, toute la belle inutilité du ciel...» Petr Král. |
RésuméRecueil de poèmes sur la destiné humaine et la part d'étrangeté du quotidien. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
3 février 2003
Collection(s)
Levée d'ancre
Rayon
Poésie et théâtre
Contributeur(s) Gina Argintescu-Amza
(Traducteur), Annie Bentoïu
(Traducteur), Nichi Jurascu
(Traducteur), Petr Kral
(Préfacier) EAN
9782747537285
Nombre de pages
87
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
0.5
cm
Poids
130
g
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