Blood & steel. Vol. 1

Ce que dit l'éditeur

He Zisheng, maître de la confrérie de Qingcheng - considéré comme le combattant à l'épée le plus brillant de son siècle - et son jeune disciple de 17 ans, Yan Heng, tout juste promu adepte de la confrérie, se battront au péril de leur vie contre les féroces représentants de wudang !

« Sur ordre de notre maître, nous vous affronterons en duels, pour prouver que l'art martial de la confrérie de wudang est invincible sur cette terre ! »

La coopération entre l'auteur jozev et le studio unicorn ouvre la voie à une nouvelle ère du manhua de chevalerie, avec un style vigoureux et original, digne des grands mangas japonais de sabre et d'épée.

Un de mes camarades, répondant au nom de Chen, pratique les arts martiaux. En lisant le début de blood and steel, il a tout de suite flashé sur le personnage de « chen le sabre démoniaque ». Il s'identifiait même à lui. Il ne s'attendait pas à ce que, quelques pages plus loin, ce personnage soit défait. Il s'est plaint de ce sort tragique.

« Pas le choix ! », ai-je répliqué, « chaque combattant a sa propre destinée ! »

Plus tard, « Chen le sabre démoniaque » est devenu le surnom de mon ami, et il n'a jamais réussi à s'en débarrasser : ça aussi, c'est le destin !