Simon Liberati

Simon Liberati qui a pris dans sa famille très tôt le goût de la lecture et de la littérature, a étudié les lettres classiques, avec une spécialisation en grammaire latine. Il ressent le désir d'écrire, choisit pourtant le journalisme et travaille à 20 ans et Cosmopolitan. Mais le désir de créer l'emporte et il décide de peindre avant de se lancer enfin. Son ami Frédéric Beigbeder, éditeur chez Flammarion y publie son premier roman en 2004.Liberati a 44 ans et Anthologie des apparitions est très bien accueilli. Suit Nada exist, histoire d'un photographe. Il préface la réédition de Du dandysme et de George Brummel de Barbey d'Aurevilly, un de ses auteurs préférés et écrit une nouvelle pour le recueil 10 ans, 10 auteurs, 10 nouvelles. Le roman suivant, L'hyper Justine, qui reprend le personnage imaginé par Sade remporte le prix des deux Magots en 2000 et l'année suivante paraît Jayne Mansfield 1967, souvenir d'une actrice américaine décédée tragiquement cette année 1967. Le livre remporte le prix Femina 2010. Dans le calme de sa maison de campagne, Simon Liberati vient de livrer 113 études de littérature romantique, dédié aux livres qui l'ont marqué et demeurent l'un des plus grands soutiens dont j'ai profité dans ma vie d'adulte. Le livre a été très bien accueilli et placé en parallèle avec celui de Charles Dantzig : un même amour de la littérature, des goûts et une lecture si différents !