François Forestier 1940-1945 : premier chef d'état-major de l'Armée secrète
Michel F. Morin
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurFrançois Forestier traverse l'ensemble de la Résistance. A Paris dès le 11 novembre 1940, puis en zone nord, aux côtés du réseau « Musée de l'Homme », ensuite à « Combat Nord », jusqu'à leur anéantissement auquel il échappe de justesse début 1942. Passé en zone sud, il prend immédiatement les fonctions de responsable militaire du mouvement « Combat », puis de premier chef d'Etat Major de l'Armée secrète jusqu'à son arrestation, le 15 mars 1943. Il est incarcéré à Lyon dans la même cellule que Serge Ravanel, et Raymond Aubrac, qui, avec son épouse Lucie, parvient à le faire évader le 24 mai. Il est évacué trois mois plus tard par avion vers Londres, où, à la demande de Frenay, il dirigera jusqu'en 1945 la « Délégation » des mouvements de résistance, Résistance dont il devient ainsi un porte-parole, et « un observateur privilégié » (H. Noguères), alors même que se mettent en place les acteurs de la Libération. |
RésuméF. Forestier traverse l'ensemble de la Résistance. A Paris dès le 11 novembre 1940, puis en zone nord aux côtés du réseau Musée de l'Homme, ensuite à Combat Nord. Passé en zone sud, il prend les fonctions de responsable militaire du mouvement Combat, puis de premier chef d'état-major de l'Armée secrète jusqu'à son arrestation en 1943. Il parvient à s'évader avec l'aide de R. et L. Aubrac. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
4 décembre 2003
Rayon
Biographies
Contributeur(s) Raymond Aubrac
(Préfacier) EAN
9782750403546
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
15.0
cm x
cm
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