Eisenhower, mon Eisenhower
Jerome Charyn
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurVoici ce qu'écrivait, au moment de sa publication en 1971, The New York Times Book Review à propos du sixième ouvrage de Jerome Charyn : Sombre, intrigant, fantastique, allégorique, «Eisenhower, mon Eisenhower» peut vous faire croire que vous êtes devenu fou en le lisant, ou que l'auteur lui-même a pété les plombs, ou qu'il a perdu la raison en écrivant ce roman (...) Ou sinon que vous venez de lire un roman tellement original et déjanté que vous en avez perdu tout jugement... Dans une pagaille urbaine invraisemblable d'un lendemain de guerre, on découvre une tribu de Gitans qui vit en hors-la-loi, se fait les biceps, la guerre et l'amour dans tous les sens. Dans ce New York sinistré de la démesure, où les jeunes arborent leur blouson «Eisenhower», où règnent terreur et folie, où tous les poncifs de la culture américaine se conjuguent, du cinéma aux sports, les Gitans, «enfants d'Azaz», adeptes du dieu Karooku, parlent en une langue inconnue. En exergue, Jerome Charyn cite Allen Ginsberg, le père de la «Beat Generation» : «Si nous sommes vivants, alors qui est mort ?» |
RésuméPour découvrir un New York sinistré où les jeunes arborent leur blouson Eisenhower, où règnent folie et terreur, et où on suit la vie d'une tribu de Gitans. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
16 juin 2001
Collection(s)
Littérature étrangère
Rayon
Romans étrangers
Contributeur(s) Daniel Mauroc
(Traducteur) EAN
9782883401143
Nombre de pages
250
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
2.0
cm
Poids
204
g
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