Le signe de Jade
David González Cruz
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurContrairement à la floraison de pamphlets déguisés sous le burlesque caractéristique des années quatre-vingt dix à Cuba, Le Signe de jade ne repose pas sur l'hypothèse qu'ailleurs, dans les démocraties riches et capitalistes, les choses en vont autrement, ni que les choses pourraient être rationnelles et bonnes, si seulement le «Représentant» disparaissait ; il postule que la «pierre de lumière» gisant sous les décombres des illusions est la royauté sur soi, image qu'on retrouve comme une formule magique, chez José Martí comme chez Lezama Lima. Le signe de jade, c'est un éclat qui parle, qui indique la route, une lueur verte enfermée dans la roche profonde, visible seulement pour le personnage itinérant de Leandro. Il a encore plus faim que les autres mais il résiste calmement à la tentation de mutiler les autres. Dès les premières pages, son triomphe est annoncé : «ton innocence est trop grande pour ce bourg». Leandro, grâce à sa pureté, retrouvera la liberté, sans perdre son aptitude à ressentir le monde comme un affamé. |
RésuméPublié pour la première fois en 1994, ce roman raconte l'histoire de Leandro qui, à la mort de sa mère, quitte Mont lumineux, dans la plus grande pauvreté, pour Nouvelle Vallée, un lieu sinistre qu'il est difficile de quitter. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
15 avril 2009
Collection(s)
El Cobre
Rayon
Romans étrangers
Contributeur(s) Cristina Correcher
(Traducteur), María Poumier
(Traducteur), Maria Poumier
(Editeur scientifique (ou intellectuel)) EAN
9782357590038
Nombre de pages
196
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
1.0
cm
Poids
200
g
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