Les voleurs d'eau : les déboires marchands d'un bien commun
Colin Ward
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurL'habitation humaine commença là où l'on entrevit une possibilité d'établir une vie durable sur une terre fertile, là où l'eau était plus ou moins régulièrement disponible. Les habitants créèrent donc à l'usage de leurs communautés des arrangements sociaux pour partager la terre et l'eau. Parce qu'elle est fixe et stable, la terre peut être divisée par des haies et des murs. On peut donc soit la posséder en commun, soit, comme dans de nombreux pays, en faire la base de la propriété privée, de la richesse personnelle et des héritages. Au contraire, l'eau doit demeurer propriété commune parce qu'elle ne reste pas là où elle se trouve. Depuis des milliers d'années, les législations du monde entier acceptent et insistent sur le fait qu'il ne saurait exister de propriété de l'eau courante. |
RésuméSelon l'auteur, les voleurs d'eau sont ceux qui participent au gros business de l'eau et qui en profitent : experts, consultants, entreprises de travaux, banques et organismes de financement internationaux, mais aussi les gouvernements d'inspiration libérale, et dans les pays en développement, les gouvernements autoritaires. Alors que l'eau doit au contraire demeurer propriété commune. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
28 mars 2006
Rayon
Economie
Contributeur(s) Jean-Manuel Traimond
(Traducteur) EAN
9782351040096
Nombre de pages
199
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
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