Le laisser-aller des éliminés : lettres à l'Abbé Coutant. Comment j'ai connu Gaston Chaissac
Gaston Chaissac
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurGaston Chaissac, peintre d'une rare originalité, faisait oeuvre d'art de toutes choses : pierres, souches d'arbres, outils hors d'usage et autres débris inutiles qu'il transfigurait à sa fantaisie. Avec le temps, il est devenu une sorte de notable de l'art brut, pour les critiques et les amateurs. Découvert par Jean Paulhan et Raymond Queneau, il fut aussi un écrivain remarquable. Son oeuvre littéraire, innombrable et facétieuse, est principalement constituée de sa correspondance : des milliers de lettres envoyées chaque jour depuis son village vendéen à toutes sortes de correspondants, notoires ou inconnus, auxquels il relatait les « nouvelles locales choisies parmi les moins sensationnelles », ne leur épargnant pas les « idées contradictoires ». Ce volume groupe une quarantaine de ces lettres, adressées de 1948 à 1950 à l'abbé Coûtant qui envisageait de devenir lui aussi artiste-peintre. Outre la savoureuse chronique villageoise, on y trouvera les surprenants avis du « marmiton de l'art brut » (comme il se nomme lui-même) sur la peinture et sur la religion. |
RésuméRassemble une quarantaine de lettres que le peintre et poète G. Chaissac a adressées, de 1948 à 1950, à l'abbé Coutant qui envisageait lui même de devenir peintre. Il y évoque notamment ses positions sur la peinture, en particulier l'Art brut, et sur la religion. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
19 octobre 2017
Rayon
Essais sur l'art : esthétique
Contributeur(s) Bernard Coutant
(Auteur), Laurent Danchin
(Préfacier) EAN
9782868536297
Nombre de pages
171
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
14.0
cm x
1.7
cm
Poids
236
g
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