Je m'appelle Ariel, mon père était un fou de Shakespeare
Franca Doura
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurDaniel et Ariel, deux artistes à l'approche de la trentaine, mettent le pied au Manoir de la Solitude. Ils y viennent avec espoir d'y trouver quelques clés qui leur permettraient d'optimiser leurs talents. La petite communauté est comme une famille où les hommes - n'est-ce pas étonnant ? - sont plus nombreux que les femmes. Les exercices proposés par le coach australien apparaissent parfois brutaux voire guerriers, d'où les incessants questionnements sur leur bien-fondé, cependant que la fascination et l'emprise sont à l'oeuvre. Entre les deux personnages principaux se tisse un lien de nature mystérieuse, qui va les reconduire à leurs origines et, qui sait, leur ouvrir les yeux ? Ce roman, une surprenante mise en abîme, rend compte des dérives de ce qu'on appelle communément aujourd'hui le travail de «développement personnel» ; des techniques (on ne les compte plus) qui promettent monts et merveilles mais peuvent aussi à jamais asservir. Le thème de la gémellarité permet à l'auteure un montage ingénieux articulant puis démontant plusieurs vécus d'embrigadement sectaire. |
RésuméDaniel et Ariel, deux artistes, intègrent une communauté nommée le Manoir de la solitude dans l'espoir d'améliorer leurs compétences. Ils subissent peu à peu l'emprise du groupe et surtout du coach australien, Masato. Un questionnement des techniques de développement personnel envahissant notre société. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
9 juillet 2015
Collection(s)
Littératures
Rayon
Romans français
Contributeur(s) Jean-Claude Maes
(Préfacier) EAN
9782806102331
Nombre de pages
186
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
1.0
cm
Poids
230
g
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