Mon oncle Benjamin
Claude Tillier
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur«Mon oncle Benjamin n'était pas ce que vous appelez trivialement un ivrogne, gardez-vous de le croire. C'était un épicurien qui poussait la philosophie jusqu'à l'ivresse, et voilà tout. Il avait un estomac plein d'élévation et de noblesse. Il aimait le vin, non pour lui-même, mais pour cette folie de quelques heures qu'il procure, folie qui déraisonne chez l'homme d'esprit d'une manière si naïve, si piquante, si originale, qu'on voudrait toujours raisonner ainsi. S'il eût pu s'enivrer en lisant la messe, il eût lu la messe tous les jours. Mon oncle Benjamin avait des principes : il prétendait qu'un homme à jeun était un homme encore endormi ; que l'ivresse eût été un des plus grands bienfaits du Créateur, si elle n'eût fait mal à la tête ; et que la seule chose qui donnât à l'homme la supériorité sur la brute, c'était la faculté de s'enivrer.» |
RésuméCe roman paru en 1843, raconte les mémoires truculentes d'un médecin, personnage haut en couleur, rhéteur implacable qui combat la bêtise. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
21 avril 2011
Collection(s)
Equateurs parallèles
Rayon
Littérature française
Contributeur(s) Lucien Descaves
(Préfacier), Lucien Métivet
(Illustrateur) EAN
9782849901786
Nombre de pages
365
pages
Reliure
Broché
Dimensions
17.0
cm x
11.0
cm x
2.8
cm
Poids
288
g
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