La vie nous regarde passer : Monette et Jo
Georges-Olivier Châteaureynaud
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur«Je n'ai que faire ici de l'entière vérité. Ce qui m'intéresse, ce sont les lambeaux et bribes déposés en moi au fil du temps, que je manipule à tâtons, que j'examine à l'aveuglette comme au fond d'une crypte.» La rencontre des parents lors d'un bal de la Victoire, les premières impressions fugitives sous le soleil d'Algérie et de Marseille, les inconstances d'un père, son goût des femmes et des ailleurs, l'adoration d'une mère, le divorce, la dépression... Dans ce livre où pour la première fois il parle de lui, Georges-Olivier Châteaureynaud exhume d'un passé brumeux des images, des légendes, et c'est toute une mythologie familiale qui se constitue. Il se souvient. D'une chambre de bonne perchée au huitième étage. Du nomadisme. De la pauvreté. De Grand-Père, de Tantine, ou du terrible Leturc, l'enfant qui lui apprit à lire. La vie nous regarde passer, ce sont les années de formation d'un écrivain, c'est une adolescence dans les années 1960. Entre la «vie de café», Mai 68 et les ultimes «Glorieuses», c'est aussi le discret parfum d'une certaine époque, celle des aventures indochinoises et des années algériennes, celle de la France d'après-guerre. |
RésuméAvec pudeur, l'auteur se souvient de sa jeunesse, évoque des années difficiles, de nomadisme et de pauvreté. Il évoque la mythologie familiale, l'adolescence dans les années 1960, Mai 1968, la vie de café et sa formation d'écrivain. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
9 mars 2011
Rayon
Littérature française
EAN
9782246785088
Nombre de pages
235
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
13.0
cm x
1.7
cm
Poids
224
g
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À propos de l'auteurGeorges-Olivier Chateaureynaud, dont l'enfance a été marquée par la précarité, a dû attendre le prix Renaudot pour pouvoir enfin vivre de sa plume. Mais les divers métiers qu'il a dû embrasser ont enrichi son oeuvre, souvent marquée du sceau du fantastique. |