Notre vie s'use en transfigurations
Gwenaëlle Aubry
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur« Un endroit où aller » Notre vie s'use en transfigurations « Je raconterai plus tard quand et comment j'ai fait l'apprentissage de la violence, découvert ma laideur », écrivait Sartre dans Les mots. Cette histoire, on ne la lit nulle part. La littérature a engendré des monstres sublimes et des bouffons difformes, des Caliban, des Thersite et des Quasimodo, mais la laideur banale, celle sur laquelle les regards glissent et les promesses se brisent, elle s'en est peu souciée. Elle l'a abandonnée aux contes, dont les vilains petits canards, les miroirs flatteurs et les peaux d'âne ont bercé nos rêves et nos terreurs enfantines, et où s'abreuve encore, bien après, nos visages devenus des masques qu'on ne peut plus ôter, notre désir secret de métamorphose. |
RésuméDe l'autre côté du miroir, une voix de femme dit l'apprentissage de la laideur face à l'injonction tyrannique de la beauté. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
5 janvier 2007
Collection(s)
Un endroit où aller
Rayon
Essais, correspondance
EAN
9782742765447
Nombre de pages
180
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
10.0
cm x
1.4
cm
Poids
170
g
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