
Les belles infidèles
Georges Mounin
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLes belles infidèles En écrivant Les Belles Infidèles il y a plus de soixante ans, Georges Mounin a voulu proposer, selon ses propres termes, « une défense et illustration de l'art de traduire ». Il a su réaliser son projet avec une rigueur de démonstration peu commune, une documentation historique exemplaire et, par-dessus tout, une vision magistrale de la traduction. Non seulement cette vision envisage tous les aspects fondamentaux de la traduction, mais elle réussit à faire converger différents points de vue vers la solution des problèmes : celui du philologue, de l'historien et du linguiste, comme celui des traducteurs eux-mêmes et celui des théoriciens de la traduction. « Il ne s'agit pas de démontrer que la traduction soit facile, ni toujours à tout coup possible et parfaite du premier coup. Ce serait déjà beau d'avoir combattu cette maladie qui paralyse les traducteurs eux-mêmes avant d'avoir commencé leur tâche: la conviction séculaire qu'ils entreprennent une tâche théoriquement impossible », écrivait l'auteur. Cet ouvrage constitue une réédition d'un grand classique de la traductologie. |
RésuméEn écrivant ce livre il y a plus de soixante ans, G. Mounin a voulu, après avoir analysé les positions des théoriciens de l'impossibilité, défendre la nécessité de la traduction sans en nier la difficulté, en réfutant un à un les arguments invoqués, qu'ils soient tirés de la sémantique, de la morphologie, de la phonétique ou de la stylistique. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
11 mars 2016
Collection(s)
Acquisition et transmission des savoirs
Rayon
Linguistique française et étrangère
Contributeur(s) Michel Ballard
(Préfacier), Lieven D'Hulst
(Préfacier) EAN
9782757411537
Nombre de pages
108
pages
Reliure
Broché
Dimensions
24.0
cm x
16.0
cm x
0.9
cm
Poids
200
g
|
![]() À propos de l'auteurGeorges Mounin, pseudonyme de Résistance de Louis Leboucher, d'origine très modeste, a acquis ses compétences en grande partie en autodidacte, avant de passer une thèse sous la direction d'André Martinet et d'être reconnu comme un des meilleurs spécialistes de linguistique, qu'il eut le don de rendre accessible. |