La garde blanche
Mikhaïl Afanassievitch Boulgakov
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa garde blanche Kiev, décembre 1918. Sur fond de guerre civile russe, Boulgakov raconte la fin de l'Ukraine tsariste à travers la destinée de la famille Tourbine, inspirée de sa propre famille. Si la mort sévit partout, chez les Tourbine, autour de la table familiale où éclatent la blancheur de la nappe et le chatoiement de la porcelaine, le temps est suspendu. Jusqu'à ce que les troupes ukrainiennes, dirigées par Simon Petlioura, déferlent sur Kiev. Plongés dans la tourmente, tous les hommes de la famille rejoignent alors la Garde blanche pour arrêter l'avancée des bolcheviks... Écrit en 1923-1924, ce premier grand roman de l'auteur du Maître et Marguerite était, disait-on, le livre préféré de Staline car il montrait, mieux que tout autre, le bouleversement apporté par le communisme à la Russie.
« Grande - grande et terrible - fut cette année-là, mil neuf cent dix-huitième depuis la naissance du Christ, et seconde depuis le début de la Révolution. » |
RésuméParu d'abord sous une forme périodique dans la revue littéraire Rossia en 1926, ce roman, qui contient de nombreux éléments autobiographiques, décrit le chaos de l'époque révolutionnaire à Kiev et, tout en glorifiant la vieille intelligentsia russe, montre le caractère inéluctable de la révolution d'Octobre. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
7 septembre 2017
Collection(s)
Pavillons poche
Rayon
Littérature russe et de l’Europe de l'Est
Contributeur(s) Claude Ligny
(Traducteur), Laure Troubetzkoy
(Traducteur) EAN
9782221202364
Nombre de pages
511
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
13.0
cm x
2.1
cm
Poids
304
g
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À propos de l'auteurMikhaïl Boulgakov, (((médecin devenu écrivain, a dû se débattre contre la censure soviétique et n'a, sur ordre de Staline, pas pu quitter son pays. Son oeuvre ne sera vraiment révélée au grand public qu'à partir de la perestroika, quarante ans après sa mort. |