Correspondance (Cambridge)
Ludwig Wittgenstein
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe présent volume contient la correspondance - du moins l'ensemble de ce qui en a été retrouvé - entre Wittgenstein et ses principaux amis de Cambridge. Par « amis », nous entendons, non ses disciples, mais ceux que l'on peut considérer comme ses égaux, ou même comme ses mentors : Bertrand Russell, G. E. Moore, J. M. Keynes, et plus tard, Frank Ramsey et Piero Sraffa (dont nous n'avons qu'une lettre, mais importante). Ce qui en justifie à nos yeux la publication tient à ce qu'il présente un aspect important du développement de Wittgenstein. Celui-ci apparaît tout à tour farouche et affectueux, féroce et sévère, satisfait d'apporter sa contribution et assuré de ses propres jugements. Les Cambridge Letters font la lumière sur quatre querelles et présentent quatre réconciliations. Elles nous permettent de suivre pas à pas les efforts de Wittgenstein pour faire publier le Tractatus, sa décision de se mettre à l'écart, son retour au travail philosophique sous l'impulsion de Keynes et de Ramsey, mais aussi ses plans plus tardifs pour abandonner la philosophie qui furent tous contrecarrés. Un thème récurrent, mais ambivalent, est l'attrait qu'à travers ses amis Cambridge a exercé sur lui. |
RésuméLa correspondance entre Wittgenstein et ses principaux amis de Cambridge (B. Russell, G.E. Moore, J.M. Keynes, etc.). ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
30 décembre 2006
Rayon
Philosophie, éthique
Contributeur(s) Brian McGuinness
(Editeur scientifique (ou intellectuel)), Georg Henrik von Wright
(Editeur scientifique (ou intellectuel)), Gérard Granel
(Traducteur), Elisabeth Rigal
(Traducteur) EAN
9792905670488
Nombre de pages
211
pages
Reliure
Broché
Dimensions
23.0
cm x
15.0
cm x
cm
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À propos de l'auteurLudwig Wittgenstein, autrichien installé en Angleterre , dès la fin de ses études, exerça comme philosophe une influence très importante. Son oeuvre peut se scinder en deux parties, la période de son Tractatus et celle des Investigations philosophiques qui reviennent sur ses premières théories pour les infirmer ou les prolonger. |