Provinciales

Jean Giraudoux

Marivole éditions | mars 2016

17.10 €

-5% pour les titulaires de la carte avec le retrait en librairie

LIBRAIRIES PARTICIPANTES

Paris VIᵉ, Paris VIIIᵉ, Paris XVIIᵉ, Paris Vᵉ
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...

Voir les disponibilités en librairie

18.00 €

Disponibilité en ligne

Expédié sous plus de 15 jours

Voir nos modes de livraison

Ajouter à ma liste d'envies

Ce que dit l'éditeur

Provinciales (1909) est la première oeuvre littéraire de Giraudoux. L'auteur a choisi comme décor le paradis perdu de son enfonce : le Limousin à Bellac et à Pellevoisin.

Le premier texte « De ma fenêtre », raconte la vie d'un petit garçon entre Tours et Châteauroux, on y trouve des allégories campagnardes singulières qui laissent pressentir le grand poète. Le dernier texte « La Pharmacienne » relate les aventures cocasses d'adultes, l'intelligence et l'humour s'unissent pour proposer une sensibilité originale.

La première chronique de Provinciales fut rédigée par André Gide : « Les qualités de ce livre sont si remarquables qu'elles me laissent croire que l'auteur, sur lequel du reste je ne sais rien, a déjà passé la première jeunesse. »

Giraudoux n'a que 26 ans lorsqu'il publie ce premier roman. Soutenue par Jules Renard, cette oeuvre est sur la liste finale du prix Goncourt mais ne sera finalement pas récompensée.

Résumé

Un recueil de nouvelles limousines évoquant les aventures imaginaires d'un jeune garçon, celles rocambolesques d'une pharmacienne, etc. ©Electre 2024

Caractéristiques

Auteur(s)

Jean Giraudoux

Éditeur(s)

Marivole éditions

Date de parution

7 mars 2016

Collection(s)

Terroir classiques

Rayon

Romans régionaux

EAN

9782365753159

Nombre de pages

159 pages

Reliure

Broché

Dimensions

23.0 cm x 14.0 cm x 1.5 cm

Poids

254 g

À propos de l'auteur

Jean Giraudoux

Jean Giraudoux a mené comme Saint John Perse ou Claudel une double carrière de diplomate et d'homme de lettres. Après quelques romans, il s'oriente vers le théâtre à la suite de la rencontre de Louis Jouvet. Son attitude pendant la guerre est ambiguë et les circonstances de sa mort restent mystérieuses.