Le coupe ongles : le jour où ils l'ont pris à mon fils, j'ai compris que c'était grave
Stéphane Alexandre
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur« Un Français sur cent est atteint de schizophrénie, une maladie dont on ne guérit pas. Cette statistique, je m'en foutais, comme tout le monde... Mon fils Nicolas a été fauché à 19 ans. Quand j'ai réalisé ce qui se passait, il était trop tard, sa mère l'avait fait interner, elle n'avait pas le choix. Je n'ai rien vu venir. Comment ce blondinet brillant a-t-il pu devenir un fantôme assommé de neuroleptiques ? C'est cette histoire que j'ai voulu raconter. Elle est violente, crue, injuste peut-être. Mais tout est vrai. Tout a commencé en février par un coup de téléphone et s'est poursuivi dans un endroit où je n'aurais jamais cru devoir mettre les pieds : le service fermé d'un grand hôpital psychiatrique. Ce récit est une véritable saga, avec des rebondissements, des mystères, des bons et des méchants. Cette aventure dont je me serais bien passé, j'ai voulu la raconter comme un roman. Je ne suis pas sûr de toujours comprendre mon fils, mais j'ai décidé de l'aimer tel qu'il est. Et ce n'est pas toujours simple. » |
RésuméLe récit d'un père sur la schizophrénie de Nicolas, son fils, est relaté comme un roman. Il commence en février par un coup de téléphone et se poursuit dans le service fermé d'un grand hôpital psychiatrique. Décrivant les délires, les difficultés d'accepter la maladie, l'internement et les traitements de son fils, l'écrivain, témoigne de façon anonyme de l'amour qu'il porte à ce dernier. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
5 janvier 2011
Rayon
Psychiatrie générale
Contributeur(s) Marie-Noëlle Besançon
(Postfacier) EAN
9782352041337
Nombre de pages
232
pages
Reliure
Broché
Dimensions
23.0
cm x
15.0
cm x
2.1
cm
Poids
330
g
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