Notaire et chasseur : du Bitcherland au Zambèze

Ce que dit l'éditeur

Le fils n'a pas emboîté le pas du tabellion. Son étude à lui, le 36 quai des orfèvres à la brigade des stupéfiants où il marquera son empreinte de chasseur de Police Judiciaire. Fidèle au souvenir de ce père décisif, lui aussi chassera le gros gibier, celui au poil infecté de substances vénéneuses responsable de morts innombrables : le dealer !

Toujours en mémoire de son père, il poursuit son chemin de fils de Nemrod en brousse. Commandant de police à la retraite, il sait poser sa carabine pour raconter ses souvenirs au travers d'un récit et de sept romans policiers. L'auteur de « Notaire et chasseur... du Bitcherland au Zambèze » signe là un récit intimiste et touchant, marqué par la tradition.

L'hommage d'un fils à son père. Le but affiché : évoquer des souvenirs avant que mémoire s'estompe. La passion de son notaire de père a été la chasse au grand gibier. Un feu sacré qui se consumera avec lui. Une passion née dans un Bitcherland envoûtant alors qu'il allait sur ses vingt-cinq ans. Il devait lui être fidèle sa vie durant. Des pays de l'Est à l'Afrique noire anglophone, des bords du Zambèze au delta de l'Okavongo, des sables du Kalahari aux bordures du « Selous ».

Son père, archétype de ce que fut un grand chasseur durant toute la seconde moitié du XX^e siècle. N'en déplaise aux pisse-vinaigres, son souci constant a toujours été de préserver la nature et les espèces. Prélèvement ne rimant surtout pas avec « massacre ». A bon entendeur salut !