Le trésor des humbles
Maurice Maeterlinck
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurMaeterlinck est belge, et, toute sa vie, il a entretenu des rapports tendus avec la culture française. Né à Gand, il entame une carrière de juriste, plaidant en français, langue officielle du système légal, pour des Flamands qui ne le parlaient pas. Très tôt, il commence à écrire des contes et des poèmes où il essaie de fondre la saveur flamande et la langue française. Dans Le Trésor des humbles, Maeterlinck va à rebours du «génie de la langue française». Ce qu'il aime chez les grands écrivains dont il parle avec passion dans ce livre, c'est ce qu'on pourrait nommer leur obscurité lumineuse. Pourtant, sa prose est régulière, classique, équilibrée. Paul Léautaud disait qu'il était le seul des symbolistes belges à savoir bien écrire en français. C'est même, tout simplement, un grand écrivain. Il a obtenu le prix Nobel de littérature en 1911. |
RésuméOuvrage paru en 1896 qui marque la fin du mouvement symboliste et regroupe une série de préfaces et essais. L'écrivain y aborde notamment Platon, Swendenborg, Novalis, Plotin, le romantisme allemand et lie le christianisme, le bouddhisme zen et la mystique flamande dans le vocabulaire de son époque. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
11 juin 2008
Collection(s)
Les cahiers rouges
Rayon
Littérature française
Contributeur(s) Patrick McGuinness
(Préfacier) EAN
9782246204220
Nombre de pages
185
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
12.0
cm x
1.0
cm
Poids
160
g
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