Les hommes et la mort en Anjou aux XVIIe et XVIIIe siècles : essai de démographie et de psychologie historiques
François Lebrun
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurL'Anjou aux XVIIe et XVIIIe siècles constitue le cadre géographique et chronologique de cette enquête de démographie et de psychologie historiques. La douceur «angevine» chantée par Du Bellay cache mal à l'historien la dureté fondamentale de ce temps, du fait de l'omniprésence de la mort. Celle-ci est le sujet même de ce livre. Grâce à l'exploitation des registres paroissiaux et à l'utilisation de tous les types de sources se rapportant de près ou de loin au sujet, l'auteur a voulu vérifier une hypothèse - la baisse de la mortalité est-elle sensible en Anjou dès le XVIIIe siècle ? - et chercher s'il existait des facteurs susceptibles de provoquer ce phénomène (alimentation, hygiène, art de guérir). En même temps, il a cru pouvoir faire écho à un voeu formulé jadis par Lucien Febvre et essayer d'appréhender le comportement des Angevins devant la mort. |
RésuméPrésente dans un premier temps le cadre géographique et chronologique de l'enquête : l'Anjou au XVIIe et XVIIIe siècles. Etudie ensuite les données démographiques relatives à la mortalité et à ses causes. Décrit ensuite les comportements humains face à la mort, notamment les superstitions et rites funéraires. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) François Lebrun
(Auteur) Éditeur(s) Date de parution
2 décembre 2004
Collection(s)
Les réimpressions
Rayon
Démographie
EAN
9782713220180
Reliure
Broché
Dimensions
24.0
cm x
16.0
cm x
cm
Poids
900
g
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À propos de l'auteurFrançois Lebrun, historien spécialiste de l'époque moderne, qui va du XVIè siècle à la Révolution, a concentré son travail sur l'histoire du catholicisme et celle de la famille, tout particulièrement dans sa région, l'Anjou. Héritier de la grande école des Annales, il a participé au renouveau de l'histoire religieuse. |